Ce sont tes couleurs
Ce n’est pas moi
Dans mon chambre il existe ta finale
La fin glorieuse qui m’appelle, trop tard.
Le rêve d’un paysan qui se couche trop tôt.
Ce qui aime les soirs bleus quand ils morts.
Je connais une science qui t’appart de ma vie
Je connais t’intérieur depuis une journée très matin.
Je t’aime isolation. Isolation-liberté.
Tu me manque comme la brise a la mer qui se vole.
Et je pars à l’extérieur sans regarder à la derrière.
Toujours avec mes yeux qui te cherchent un peu tard.
Jamais avec mon âme qui te trouve toujours tôt.
Quand un sourire est dessiné dans mes lèves, je te vois.
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